Quelques reformulations et corrections

Utilisation de \string: pour ne pas avoir d'espace insécable avant « : »



git-svn-id: file:///home/matteo/Downloads/gna/svn/gulum@39 e86ba84a-1b32-0410-87b2-c3a91cda2950
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@ -13,7 +13,13 @@ En d'autres mots, un format est une \emph{façon d'agencer l'information} de man
\subsection{Qu'est-ce qu'un format ouvert ?}
Un format ouvert, quant à lui, se distingue par le fait que ses \textbf{particularités} sont \textbf{entièrement documentées, disponibles au grand public, sans limitations d'usage}. Bien que cette liberté affecte en premier les créateurs de logiciels, elle se répercute ensuite naturellement sur les consommateurs --- c'est-à-dire nous. %phrase à réviser
Ainsi, quiconque peut librement étudier le format, et bâtir des logiciels entièrement conformes, sachant qu'il détient toute l'information nécessaire. Par exemple, une entreprise intégrant le format \textsc{OASIS OpenDocument Text} (\fileext{.odt}) à son logiciel de traitement de texte peut s'assurer de le supporter au meilleur de ses habiletés. Ceci \textbf{remet le choix entre les mains du consommateur}. Nous y reviendrons.
Ainsi, quiconque peut librement étudier le format, et bâtir des
logiciels entièrement conformes, sachant qu'il détient toute
l'information nécessaire. Par exemple, une entreprise intégrant le
format \textsc{OASIS OpenDocument Text} (\fileext{.odt}) à son logiciel
de traitement de texte peut s'assurer de le supporter au meilleur
de ses capacités. Ceci \textbf{remet le choix entre les mains du
consommateur}. Nous y reviendrons.
@ -24,11 +30,25 @@ L'usage des formats fermés s'accompagne généralement d'une volonté, de la pa
Le principe même d'un format ouvert est de rendre inutile ce genre de guerres et promouvoir la \emph{réelle innovation}. Effectivement, les formats ouverts changent toute la dynamique : les logiciels, pouvant librement échanger l'information, doivent maintenant se faire concurrence au niveau de la \emph{qualité} du logiciel en tant que tel.
% Juxtaposition bizarre entre « citoyen » et « université »
\subsubsection{Choix contre \angl{vendor lock-in}}
Du coup, le citoyen ne se voit plus obligé d'acheter un logiciel particulier parce que «~c'est ce que tout le monde utilise à l'université~», mais parce que le logiciel est \textbf{adapté à ses besoins}. Il peut réellement baser son choix sur le coût du logiciel, ses fonctionnalités, etc.
Du coup, le citoyen ne se voit plus obligé d'acheter un logiciel
particulier parce que «~c'est ce que tout le monde utilise à
l'université, au travail, ou dans la famille~», mais parce que le
logiciel est \textbf{adapté à ses
besoins}. Il peut réellement baser son choix sur le coût du logiciel,
ses fonctionnalités, etc.
Un exemple pour illustrer cette situation serait les formats utilisés par \mso{} (notamment \fileext{.doc}, \fileext{.xls} et \fileext{.ppt}). Ces formats sont propriétaires (fermés) et jalousement gardés par \ms. Personne d'autre que \ms{} ne peut savoir \emph{exactement} comment fonctionne l'ensemble de ces formats, et les consommateurs sont donc littéralement «~enfermés~» dans ces formats. Bref, le but de la man\oe{}uvre est de créer, chez les utilisateurs de \mso{}, une crainte d'incompatibilité avec les autres logiciels. Ce phénomène a largement été étudié et est connu sous le terme anglais \angl{vendor lock-in}.
Un exemple pour illustrer cette situation serait les formats
utilisés par \mso{} (notamment \fileext{.doc}, \fileext{.xls}
et \fileext{.ppt}). Ces formats sont propriétaires (fermés) et
jalousement gardés par \ms. Personne d'autre que \ms{} ne peut savoir
\emph{exactement} comment fonctionne l'ensemble de ces formats, et
les consommateurs sont donc littéralement «~enfermés~» dans ces
formats. Bref, le but de la man\oe{}uvre est de créer, chez les
utilisateurs de \mso{}, une crainte d'incompatibilité avec les autres
logiciels. Ce phénomène a largement été étudié et est connu sous
le terme anglais \angl{vendor lock-in}.
% Largement étudié -> citation ?
Le seul moyen pour les concepteurs de logiciels serait alors de faire de la \emph{rétro-ingénierie}\cite{WIK_retroing}, c'est-à-dire tenter de «~deviner~» la structure du format par essais et erreurs. C'est un procédé long, complexe, nécessitant parfois d'aller à l'encontre de licences en place, et ne donnant souvent que des résultats incomplets. C'est néanmoins ce que sont forcés de faire la grande majorité des logiciels, qu'ils soient libres ou propriétaires, pour pouvoir manipuler les formats fermés.
@ -64,7 +84,7 @@ Voici une liste non exhaustive de formats ouverts populaires.
\item \soft{Free Lossless Audio Codec} (\fileext{.flac}) : codec audio sans perte de qualité sonore permettant de stocker des enregistrements en utilisant moins d'espace qu'un format non compressé. À savoir que la compression \soft{FLAC} est «~sans pertes~», c'est-à-dire qu'il n'y a aucune dégradation de la qualité sonore (comparativement aux codecs «~avec pertes~» comme le \soft{OGG Vorbis}).
\item \soft{Scalable Vector Graphics}\cite{SPEC_svg} (\fileext{.svg}) : un format d'images vectorielles, principalement utilisé par \soft{Inkscape}, et supporté par les navigateurs Web récents, à l'exception d'Internet Explorer 7 qui ne prend pas en charge SVG. Les images vectorielles sont des images interprétées par des calculs mathématiques. Elles possèdent l'avantage d'une qualité optimale, peu importe la taille, mais peuvent nécessiter une puissance de calcul plus grande dans le cas d'images photoréalistes.
\item \soft{Portable Network Graphics} \cite{SPEC_png} (\fileext{.png}) : un format d'images matricielles «~non destructeur~» (sans perte de qualité). Supporte également les palettes de couleurs fixes et la transparence avec canaux alphas. Contrairement à SVG, PNG, étant un format d'images matricielles, est à taille fixe et dépend de la résolution d'écran ou d'impression.
\item \soft{Portable Document Format} \cite{SPEC_pdf} (\fileext{.pdf}) : format ayant l'avantage de préserver la mise en forme d'un document (images, polices de texte, objets graphiques, espaces, etc), peu importe l'application ou la plateforme utilisée pour le lire. Un désavantage de cette préservation rigide de la mise en page est qu'il est difficile pour l'utilisateur de modifier des documents PDF.%note de jeff: wikipédia a des infos inquiétantes, mais c'est seulement mentionné sur la page francophone, et je sais plus si c'est d'actualité en 2007 alors qu'Adobe a annoncé qu'ils allaient se faire standardiser à fond par ISO ou un truc du genre.
\item \soft{Portable Document Format} \cite{SPEC_pdf} (\fileext{.pdf}) : format ayant l'avantage de préserver la mise en forme d'un document (images, polices de texte, objets graphiques, espaces, etc), peu importe l'application ou la plateforme utilisée pour le lire. Un désavantage de cette préservation rigide de la mise en page est qu'il est difficile pour l'utilisateur de modifier des documents PDF.%note de jeff : wikipédia a des infos inquiétantes, mais c'est seulement mentionné sur la page francophone, et je sais plus si c'est d'actualité en 2007 alors qu'Adobe a annoncé qu'ils allaient se faire standardiser à fond par ISO ou un truc du genre.
%%PDF est un format ouvert, cest-à-dire que son créateur Adobe Systems autorise des programmes tiers à réutiliser son format.
%%Il se réserve cependant la propriété de nombreux brevets déposés, et donc le droit de demander des redevances. Il reste très tolérant à ce sujet : en effet, les spécifications sont publiques et utilisables librement (certains éléments sont à disposition sur le site Adobe[1]) et gratuitement (à l'exception de quelques très importantes sociétés commerciales auxquelles Adobe demande alors une participation financière).
\end{description}
@ -83,12 +103,22 @@ Voir aussi : % Sous forme de références ? -- Pascal
%Sauf que j'ai l'impression que ça commencerait à être long. À voir. Dans ce cas faudrait renommer tout ça en "attention aux faux formats ouverts qui en sont pas vraiment, isatrap!" --Jeff
\subsection{Pourquoi pas «~XPS~» ou «~Office OpenXML~» de \mso{} 2007 ?}
Dans un contexte de formats ouverts, il faut toutefois se mettre en garde contre les \textbf{«~faux~» formats ouverts}. \soft{XPS (XML Paper Specification)} et \soft{Office OpenXML} sont des formats mis de l'avant par Microsoft dans le but de raffermir leur emprise sur les formats que nous utilisons dans la vie courante.
Dans un contexte de formats ouverts, il faut toutefois se mettre en
garde contre les \textbf{«~faux~» formats ouverts}. \soft{XPS (XML
Paper Specification)} et \soft{Office OpenXML} sont des formats mis en
avant par Microsoft dans le but de raffermir son emprise sur les
formats que nous utilisons dans la vie courante.
Les raisons de fuir le nouveau format \soft{OOXML} (\soft{Office Open XML}, à ne pas confondre avec \soft{OpenDocument} ou \soft{OpenOffice}) sont nombreuses, au point où elles pourraient faire l'objet d'un argumentaire entier. Pour des raisons de simplicité et de concision, nous ne mentionnerons que quelques points saillants sous forme simplifiée, et nous nous attarderons uniquement sur le format \soft{OOXML}.
\subsubsection{\soft{OOXML} n'est pas réellement ouvert}
Contrairement au format OpenDocument (qui a été ratifié comme le standard ISO/IEC 26300:2006), le format Office OpenXML semble n'être qu'une tactique publicitaire de \ms{} pour tenter de conserver ses contrats gouvernementaux en se proclamant «~ouvert~» tout en s'assurant d'être les seuls à être réellement en mesure d'utiliser le format à sa pleine capacité.
Contrairement au format OpenDocument (qui a été ratifié comme le
standard ISO/IEC 26300\string:2006), le format Office OpenXML semble
n'être qu'une tactique publicitaire de \ms{} pour tenter de conserver
ses contrats gouvernementaux en se proclamant «~ouvert~» tout en
s'assurant d'être les seuls à être réellement en mesure d'utiliser
le format à sa pleine capacité.
Notamment, de nombreuses «~fonctions~» ne sont que des références non documentées vers des produits \ms{} antérieurs. Dans le quatrième volume de la documentation d'OOXML\cite{SPEC_ooxml}, on retrouve :
\begin{itemize}
@ -102,13 +132,14 @@ Ces fonctions ne font donc que dire au lecteur «~vous saurez ce que ça fait si
Ainsi, certaines fonctionnalités, au lieu d'être expliquées comme les autres dans la documentation du format OOXML, ont une mention «~définie par l'application~», ce qui veut dire que leur fonctionnement est entièrement dépendant du logiciel qui lit le format. En d'autre mots, c'est comme dire à quelqu'un «~c'est très simple de fabriquer une station spatiale, regarde, tu prends une station, et de l'espace~»~!
%j'ai commenté le paragraphe ci-dessous, il est redondant et tout à fait incompréhensible pour les mortels.
%Par exemple, la section 6.1.2.19 du quatrième volume de la spécification du format \soft{OOXML} définit le fonctionnement de l'attribut «~equationxml~» des éléments «~shape~» en tant que «~le format du contenu de cet attribut est en fait défini par l'application~» : «~\angl{actual format of the contents of this attribute are application-defined}~». \cite{EOOXML_objections}%Si vous n'avez pas compris le paragraphe précédent, rassurez-vous: c'est écrit aussi clairement dans la documentation OOXML!
%Par exemple, la section 6.1.2.19 du quatrième volume de la spécification du format \soft{OOXML} définit le fonctionnement de l'attribut «~equationxml~» des éléments «~shape~» en tant que «~le format du contenu de cet attribut est en fait défini par l'application~» : «~\angl{actual format of the contents of this attribute are application-defined}~». \cite{EOOXML_objections}%Si vous n'avez pas compris le paragraphe précédent, rassurez-vous : c'est écrit aussi clairement dans la documentation OOXML!
\subsubsection{6039 pages}
La «~spécification~» (description du fonctionnement du format) d'\soft{OOXML} est répartie sur plusieurs livres, totalisant plus de six mille pages, ce qui est inutilement complexe pour un simple format de documents de bureautique.
Pour comparer, la spécification entière du format OASIS OpenDocument (ISO/IEC 26300:2006) tient en 722 pages.
Pour comparer, la spécification entière du format OASIS OpenDocument
(ISO/IEC 26300\string:2006) tient en 722 pages.
\begin{figure}
\begin{center}

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@ -101,7 +101,7 @@ une meilleure sécurité, un soutien technique simplifié, etc.
% leurs équivalents commerciaux. Il ne faudrait pas qu'on diste que
% mécaniquement, si c'est libre c'est plus sûr. -- Pascal
\paragraph*{Robustesse.}
\paragraph*{Robustesse}
Il est très courant d'observer des anomalies de fonctionnement dans
son logiciel préféré. L'utilisateur est la plupart du temps impuissant
devant ce phénomène, car seul le fabricant peut modifier le logiciel
@ -121,7 +121,7 @@ la grande robustesse du système d'exploitation \linux\ qui s'exécute de
nos jours sur un grand nombre de serveurs hébergeant des sites web
importants sur Internet, par exemple celui de Google.
\paragraph*{Sécurité.}
\paragraph*{Sécurité}
Souvent,
des failles de sécurité permettent à des personnes malveillantes de
s'introduire sur un serveur et d'en perturber le fonctionnement, par
@ -143,10 +143,10 @@ l'accessibilité du code source fait en sorte que la sécurité doit se
fonder sur des hypothèses plus fortes que le secret, ce qui accroît la
sécurité.
\paragraph*{Pérennité du logiciel.}
\paragraph*{Pérennité du logiciel}
Si une entreprise cesse de développer un logiciel dont
elle détient jalousement le code source, plus personne ne peut
poursuivre le développement de ce logiciel; conséquamment, le produit
poursuivre le développement de ce logiciel ; conséquemment, le produit
«~meurt~».
L'utilisateur est alors contraint de
changer de logiciel si la version actuelle n'est pas compatible avec
@ -163,7 +163,7 @@ pas ; il continue toujours d'exister et son développement peut être
repris par toute personne désireuse de le faire, y compris un fervent
utilisateur.
\paragraph*{Liberté de mise à jour.}
\paragraph*{Liberté de mise à jour}
L'utilisateur peut être
contraint d'adopter les nouvelles versions de son logiciel favori et
de faire évoluer son matériel en conséquence, ce qui occasionne
@ -197,7 +197,7 @@ Ainsi,
avec les logiciels libres, l'utilisateur met son produit à jour
\textbf{au besoin}, il est \textbf{libre} de le faire à sa convenance.
\paragraph{Égalité des chances en éducation.}
\paragraph{Égalité des chances en éducation}
Bon nombre d'étudiants se voient contraints de faire l'achat de
logiciels pour leurs cours, parfois à coûts réduits si des ententes
préalables ont été établies entre l'université et les fabricants. Ceux
@ -209,7 +209,8 @@ D'un autre côté,
quand la formation exige principalement des logiciels libres,
toute personne disposant chez elle d'un ordinateur peut
télécharger et installer les logiciels dont elle a besoin pour sa
formation.
formation ; l'université a également le droit de distribuer directement
ces logiciels aux étudiants.
Cela évite des coûts pour les étudiants, mais aussi pour l'université
qui n'a pas à établir d'entente avec les fournisseurs pour la
distribution de logiciels aux étudiants.
@ -217,13 +218,13 @@ Cela libère aussi des postes de travail à l'université puisque davantage
d'étudiants peuvent travailler chez eux ou avec leur ordinateur
portable.
\paragraph{Soutien technique.}
\paragraph{Soutien technique}
Une grande partie du travail du personnel de soutien technique
consiste à administrer les serveurs et à résoudre divers problèmes
techniques. Leur tâche se voit alourdie par l'impossibilité de savoir
exactement comment fonctionnent les produits, la nécessité de trouver
des parades à des bogues qui ne seront corrigés que dans quelques
années, dans des versions futures des logiciels, et la nécessité de
des parades à des bogues qui ne seront corrigés que quelques
années plus tard, dans des versions futures des logiciels, et la nécessité de
supporter de multiples versions des logiciels.
Avec tout ce travail, il ne reste pas beaucoup de temps aux
techniciens pour aider les usagers.

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@ -13,18 +13,11 @@ pdfview=FitH,pdfborder={0 0 0},
pdfstartview=FitH]{hyperref}
\usepackage{fullpage}
% N'insère pas d'espace insécable avant la ponctuation haute (:;!?)
% s'il n'y a pas d'espace du tout (pour éviter des problèmes avec
% « ISO/IEC 26300:2006 » par exemple).
\NoAutoSpaceBeforeFDP
% On aurait aussi pu se définir une macro affichant \char58 pour ces
% quelques cas-là.
% Astuce pour pouvoir avoir des accents dans les meta-donnes PDF
\hypersetup{
pdfauthor={Groupe d'usagers Linux de l'Universit\'e de Montr\'eal},
pdftitle={Avis sur l'utilisation de logiciels libres et formats ouverts
\`a l'universit\'e de Montr\'eal},
\`a l'Universit\'e de Montr\'eal},
pdfsubject={Argumentaire FA\'ECUM}
}

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@ -7,9 +7,14 @@ L'écriture de ce document n'aurait pas été possible sans l'aide de ces person
Pr\'enom très très très long\= nom de famille aussi
long\= Occupation et aussi\= Programme\kill
\bf{Pr\a'enom}\>\bf{Nom}\>\bf{Occupation}\>\bf{Programme}\\
Marc \> Julien \> Étudiant \>M. sc. en informatique\\
Eric \> Buist \> Étudiant \> Ph.D en informatique\\
Jean-François \> Fortin Tam \> Étudiant \>B. sc. en psychologie\\
Marc \> Julien \> Étudiant \> Maîtrise en informatique\\
Eric \> Buist \> Étudiant \> Doctorat en informatique\\
Jean-François \> Fortin Tam \> Étudiant \> Baccalauréat en psychologie\\
Pascal \> Lamblin \> Étudiant \> Doctorat en informatique\\
\end{tabbing}
% Si vous préférez, on peut remplacer « Maîtrise » par « M.Sc. »
% (écrit ainsi sur le site du guichet étudiant) et « Doctorat » en
% « Ph.D. » (idem). J'ai préféré le français, d'ailleurs même
% le guichet étudiant utilise « Baccalauréat » sur la liste des
% programmes -- Pascal

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@ -1,5 +1,15 @@
\section{Introduction}
% De façon générale (et en soi ce n'est pas mauvais), ça transparaît beaucoup dans la recherche que vous avez un parti pris pour les logiciels libres et des formats ouverts. C'est correct, car ultimement la on veut que la conclusion soit en faveur du libre et de louvert, mais ça intéressant que ce parti pris ne s'étale pas totalement dès les introductions des sections. Bref, il serait intéressant, et ce que nous cherchons dans la plupart de nos recherches, d'avoir une certaine évolution du type: mise en contexte / problématique / solution qui amènerai la solution des logiciels libres à un problème existant, plutôt que l'inverse.
% De façon générale (et en soi ce n'est pas mauvais), ça
% transparaît beaucoup dans la recherche que vous avez un parti pris
% pour les logiciels libres et des formats ouverts. C'est correct, car
% ultimement la on veut que la conclusion soit en faveur du libre et
% de louvert, mais ça intéressant que ce parti pris ne s'étale
% pas totalement dès les introductions des sections. Bref, il serait
% intéressant, et ce que nous cherchons dans la plupart de nos
% recherches, d'avoir une certaine évolution du type : mise en contexte
% / problématique / solution qui amènerai la solution des logiciels
% libres à un problème existant, plutôt que l'inverse.
L'idée d'un ensemble complet de logiciels partagés par tous et
développés par la communauté a pris naissance il y a près de
@ -8,12 +18,12 @@ développés par la communauté a pris naissance il y a près de
un logiciel, je devrais être capable de le redistribuer gratuitement, ce
qui va totalement à l'encontre de la plupart des licences logicielles.
Il a donc entrepris de développer un système d'exploitation libre,
que tous peuvent utiliser, étudier son fonctionnement, modifier et
redistribuer: GNU
c'est-à-dire que tous peuvent l'utiliser, étudier son fonctionnement,
le modifier et le redistribuer : GNU
(souvent désigné comme GNU/Linux ou à tort seulement «~Linux~»).
Ces libertés nécessitent souvent l'accès au code source, c'est
pourquoi on entend souvent aussi parler de code source ouvert (
\emph{open source}).
pourquoi on entend souvent aussi parler de code source ouvert
\emph{(open source)}.
Depuis, l'idée a fait son chemin dans divers milieux
et plusieurs régions du monde. Plusieurs passionnés ont
adopté cette méthode de développement
@ -29,13 +39,13 @@ alors nous nous contenterons de nommer le gouvernement du
Québec \cite{log-libre.gouv.qc.ca} et celui du Canada
\cite{log-libre.gc.ca}. De nombreuses universités se sont aussi
démarquées dans leur utilisation de logiciels libres.
Par exemple, l'université Western Australia a adopté une politique
Par exemple, l'Université Western Australia a adopté une politique
encourageant l'utilisation des logiciels libre dans tous les champs
d'application \cite{foss_uwa}, l'université du Littoral Côte d'opale
d'application \cite{foss_uwa}, l'Université du Littoral~--~Côte d'Opale
(France) offre un master en ingénierie du logiciel libre. Plus près
de nous, l'université de Laval propose un cours «~logiciels libres
et société~» et l'université Sherbrooke a développé, il y a
quelques années, une distribution GNU/Linux québécoise: éduLinux.
de nous, l'Université Laval propose un cours «~logiciels libres
et société~» et l'Université de Sherbrooke a développé, il y a
quelques années, une distribution GNU/Linux québécoise : éduLinux.
Il est donc surprenant que l'Université de Montréal ne se soit pas
encore intéressée à la question.
@ -44,7 +54,7 @@ libres depuis plusieurs années. La plupart des membres de la
communauté universitaire ont sans doute déjà entendu parler de
Firefox, un fureteur libre. Cependant, on peut rapidement
s'apercevoir que les connaissances sur les logiciels libres sont
minimales: il reste beaucoup d'information à distribuer et de
minimales : il reste beaucoup d'information à distribuer et de
formations à donner.
C'est ce constat qui a poussé l'association des étudiants et

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@ -1 +1,6 @@
Cette création est mise à disposition selon le Contrat Paternité-Partage des Conditions Initiales à l'Identique 2.5 Canada disponible en ligne \url{http://creativecommons.org/licenses/by-sa/2.5/ca/} ou par courrier postal à Creative Commons, 171 Second Street, Suite 300, San Francisco, California 94105, USA.
Cette création est mise à disposition selon le contrat
«~Paternité~--~Partage des conditions initiales
à l'identique 2.5 Canada~», disponible en ligne
\url{http://creativecommons.org/licenses/by-sa/2.5/ca/} ou par courrier
postal à Creative Commons, 171 Second Street, Suite 300, San Francisco,
California 94105, USA.