Réinstauration de quelques modifications qui étaient passées à la trappe à la

version 41


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@ -7,11 +7,11 @@
% de louvert, mais ça intéressant que ce parti pris ne s'étale pas
% totalement dès les introductions des sections. Bref, il serait
% intéressant, et ce que nous cherchons dans la plupart de nos
% recherches, d'avoir une certaine évolution du type: mise en contexte
% recherches, d'avoir une certaine évolution du type : mise en contexte
% / problématique / solution qui amènerai la solution des logiciels
% libres à un problème existant, plutôt que l'inverse.
% dhag: À mon avis, le contenu du premier paragraphe ci-dessous est
% dhag : À mon avis, le contenu du premier paragraphe ci-dessous est
% contestable. GNU est la première implémentation de ces idées *à avoir
% réussi* (et encore, c'est à vérifier).
@ -22,22 +22,22 @@ GNU}~\cite{gnumanifesto}.
L'idée principale défendue par Stallman est que chacun devrait avoir
la possibilité de partager librement les programmes qu'il apprécie
avec d'autres personnes, ce que la plupart des licences de logiciels
commerciaux interdit.
commerciaux interdisent.
Stallman a ainsi entrepris de développer un système d'exploitation
«~libre~», c'est-à-dire accessible à tous afin de l'utiliser, mais
aussi d'étudier son fonctionnement, de le modifier et de le
redistribuer: c'est GNU\footnote{désigné par GNU/Linux lorsqu'utilisé
«~libre~», c'est-à-dire que tous doivent pouvoir l'utiliser, mais
aussi étudier son fonctionnement, le modifier et le
redistribuer : c'est GNU\footnote{désigné par GNU/Linux lorsqu'utilisé
avec Linux comme système sous-jacent}. Exercer ces libertés nécessite
notamment d'avoir accès au code source\footnote{Le code source est la
forme sous laquelle les programme sont écrits par leurs développeurs:
forme sous laquelle les programme sont écrits par leurs développeurs :
c'est la seule forme qui est lisible et modifiable par des
humains. Quand ils sont destinés à être seulement utilisés, les
programmes sont traduits sous forme de langage machine, adaptée à
l'exécution par des puces électroniques et à rien d'autre.}, c'est
pourquoi on entend aussi parler de code source ouvert \en{(open
source)}\footnote{\en{Open source} et logiciel libre sont des idées
distinctes: il est tout à fait possible d'écrire du logiciel
distinctes : il est tout à fait possible d'écrire du logiciel
propriétaire et de distribuer tout ou partie de son code source aux
clients, en restreignant les libertés d'actions sur ce code source.}.
En deux décennies, l'idée a fait son chemin dans de nombreux milieux
@ -46,21 +46,20 @@ de qualité est aujourd'hui disponible. De plus, l'accessibilité aux
non-spécialistes a été travaillée, et il est envisageable pour le
grand public d'utiliser ces logiciels.
De nombreuses administrations ont déjà étudié la viabilité de
l'adoption du logiciel libre, par exemple le gouvernement du Québec
\cite{log-libre.gouv.qc.ca} et le gouvernement du Canada
\cite{log-libre.gc.ca}.
Un grand nombre d'universités se sont aussi démarquées dans leur
utilisation de logiciels libres. Par exemple, l'université
utilisation de logiciels libres. Par exemple, l'Université
d'Australie-Occidentale a adopté une politique~\cite{foss_uwa}
encourageant l'utilisation des logiciels libres dans tous les champs
d'application, l'université du Littoral Côte d'opale (France) offre un
d'application, l'Université du Littoral~--~Côte d'Opale (France) offre un
master en ingénierie du logiciel libre. Plus près de nous,
l'université Laval propose un cours «~logiciels libres et société~» et
l'université Sherbrooke a développé, il y a quelques années une
distribution GNU/Linux québécoise: ÉduLinux. Il est donc surprenant
l'Université Laval propose un cours «~logiciels libres et société~» et
l'Université de Sherbrooke a développé, il y a quelques années une
distribution GNU/Linux québécoise : ÉduLinux. Il est donc surprenant
que l'Université de Montréal ne se soit pas encore intéressée à la
question.
@ -69,12 +68,12 @@ libres depuis plusieurs années. La plupart des membres de la
communauté universitaire ont sans doute déjà entendu parler de
Firefox, un fureteur libre. Cependant, on peut rapidement
s'apercevoir que les connaissances sur les logiciels libres sont
minimales: il reste beaucoup d'information à distribuer et de
minimales : il reste beaucoup d'information à distribuer et de
formations à donner.
C'est ce constat qui a poussé l'association des étudiants et
étudiantes aux études supérieures du département d'informatique
et de recherche opérationnelle à faire adopter l'orientation:
et de recherche opérationnelle à faire adopter l'orientation :
\begin{quote}
\textbf{Que la FAÉCUM développe son discours sur les logiciels
libres et les formats ouverts.}